Martina Westover
- SériesTechniquesDimensions17 × 1 × 19,5 cmDisponibilité
- SériesTechniquesDimensions18 × 1 × 25 cmDisponibilité
- SériesTechniquesDimensions22 × 24 × 3 cmDisponibilité
- SériesSupportDisponibilité
- SériesTechniquesDimensions21 × 5 × 62 cmDisponibilité
- Présentation de l'oeuvre
Un jour je voyais que les plants de poivrons que j'avais mis en terre deux jours avant n'allaient pas bien. J'ai demandé aux esprits de la nature de m'aider à comprendre le problème. Je ne voyais toujours pas les êtres invisibles de la nature, mais je savais qu'ils étaient présents. Une nuit d'été j'ai rêvé ce genre de rêve qui semble plus réel que la vie éveillée. Il faut dire que j'étais toujours si fatiguée à l'époque que j'avais souvent le sentiment de ne pas être présente. Des dizaines et des dizaines de petits êtres sautaient sur mon lit très joyeusement. Ils m'ont encerclée en disant, « Martina, tu nous a appelés pour demander de l'aide. Nous avons entendu ton appel. Veux-tu venir avec nous? ». Au moment où je répondis oui, ils m'ont emmenée. Je me suis trouvée au pied de grands arbres avec des fruits rouges comme des pommes. Mais petit à petit je compris que j’étais dans mon potager, debout au pied des plants de poivron. J’étais devenue minuscule. Et je me suis exclamée, « mais je suis toute petite et les poivrons grands et les fruits rouges. Pourquoi ? ». Les êtres m'ont répondu, « Ici dans ce monde où tu te trouves, tout est le contraire. Tu es le monde astral où tout est à l'envers. Veux-tu notre aide ? Écoute bien et nous allons t'expliquer comment soigner les poivrons ». J’écoutais avec tout mon cœur. J'avais 29 ans.
SériesTechniquesSupportDisponibilité - Présentation de l'oeuvre
Je sent que mon ange s'éloigne pour me laisser de plus en plus libre d'agir sur terre. Je commence à me sentir chez moi et j'écrit ceci :
Un Hymne pour la terre
Comme nouvelle patrie, tu as été nommée,
Alors que je descendais la pente abrupte,
Aspirée par la force de ton appel.
Mais en bas je me suis sentie bannie de mon ancien berceau.
Je ne t'ai plus reconnue.
Tu me semblais si froide, si étrange.
J'errais partout comme une folle.
Qui pouvait me guérir?
Puisque tout me torturait,
Je voulais m'enfuir loin...
Pour retrouver ma patrie au ciel,
La patrie à moitié perdue
Mais non oubliée.
Longtemps il fallut pour me libérer de cette envie.
Autrefois, debout sur des pierre dures,
Je les tiens maintenant comme des cadeaux purs.
Je t'embrasse comme les anciennes prêtresses.
Tu t'éveilleras en moi
Et en toi je chercherai les mondes
Que jadis je ne cherchais que parmi les étoiles.SériesTechniquesSupportDisponibilité - SériesTechniquesDimensions20 × 1 × 23 cmDisponibilité
- SériesTechniquesDimensions21 × 1 × 32 cmDisponibilité